Pour mourir président Bouteflika bloque le développement multidimensionnel de l'Algérie et retarde son décollage économique. Il l'a condamne à croupir dans l'assistanat et l'informel. Il est en train d'hypothéquer le devenir de plusieurs générations en dilapidant les ressources de son pays qu'il a le devoir d'investir dans des réalisations productrices de richesses et d'emplois, dans l'éducation et la formation performantes, dans la recherche scientifique et les technologies de pointe, dans les équipements de base.
Pour demeurer au pouvoir El Maliki menace son pays de tous les malheurs alors que les citoyens Irakiens n'ont pas connu la sécurité depuis l'occupation américaine en 2003. El Maliki avait pris le pouvoir sous la tutelle de George W. Bush et avait promis la démocratie mais il a plongé son pays dans un bain de sang pour régler des comptes avec les sunnites et autres tendances religieuses minoritaires qui composent la nation irakienne depuis la nuit des temps.
Pour rester président de la Syrie à vie Bachar el Assad est en train de raser son pays.
Abdelfattah Sissi reprend les méthodes de gouvernance de Hosni Moubarak avec la bénédiction du monde dit civilisé et l'aide militaire russe et américaine.
Tous les dirigeants de notre contrée clament qu'ils se sacrifient pour le bonheur des peuples à qui ils refusent le minimum des droits citoyens. Quand vous leur parlez de justice, de liberté, de souveraineté citoyenne, d'alternance, de bonne gouvernance ils sortent leurs chars et leurs bombardiers.
Vous comprenez cela ?
Quant à nous, nous n'arrivons pas à le comprendre.
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HOCINE MAHDI
.......... Le 14 août 2014
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