Sunday, December 07, 2008

Ban Ki Mon s’humilie

Ban Ki Mon s’humilie
Après U Thant, Boutros Ghali et Kofi Annnan, voici venu le tour de Ban Ki Mon de s’humilier pendant que les hordes sionistes règlent la question palestinienne en usant des méthodes nazies qui furent condamnées par le Tribunal Pénal International à Nuremberg. Pire. Sous les ailes protectrices de leurs tutrices -Angleterre, France, Allemagne, USA- les hordes sionistes ont dépassé de très loin tout ce que l’imaginaire des nazis les plus extrémistes pouvait inventer en matière de cruauté contre un peuple dépossédé de ses terres et de sa liberté. Un peuple qui a le tort de résister à l’anéantissement, la poitrine et les mains nues, face à une armée de colonisation. Un peuple qui a eu la force de survire à une opération planifiée d’extermination et mise à exécution sous le couvert de la loi Balfour quand le colonialisme anglais avait découvert un pays sans peuple (la Palestine) pour l’offrir à un peuple sans pays (le peuple juif) comme si le spirituel pouvait être éternellement enfermé à l’intérieur des frontières d’une entité géographique, aussi vaste soit-elle.
Ban Ki Mon supplie les criminels sionistes d’être un peu moins cruels, un peu moins exhibitionnistes quand les prendra l’envie de casser du Palestinien en gros ou en détail.
-‘’Faites ce que vous voulez mais soyez discrets’’. Tel est le message du secrétaire général de l’ONU aux criminels qui déshonorent cette auguste institution dont personne ne sait plus à quoi elle sert.
Ban Ki Mon lui-même doit se demander pourquoi il a accepté d’occuper un poste honorifique et pourquoi il n’est pas autorisé d’utiliser les armes juridiques qui sont entre ses mains pour régler tout de suite et dans les meilleures conditions le problème Palestinien. Il doit se demander pourquoi il n’est pas autorisé d’appliquer les résolutions de l’ONU qui n’ont pas été rendues caduques par le veto de la Maison Blanche.
Et nous, nous nous demandons pourquoi Ban Ki Mon n’a pas démissionné depuis qu’il s’est rendu compte qu’il n’est autorisé de faire que ce que veut bien lui permettre de faire l’ambassadeur américain à l’ONU.

Le 3 décembre2008
Mahdi Hocine