Sunday, July 23, 2006

Quand la mafia dicte sa loi Que cachait le mur de la honte ?


Quand la mafia dicte sa loi
Que cachait le mur de la honte ?

Le mur de la honte et des lamentations, comme l’ont qualifié des journalistes locaux, a été construit à la hâte pour épargner aux passants des accidents.Mahdi H.Depuis son inauguration en grandes pompes voici quatre ans, la fresque hideuse du Coudiat n’a cessé de mobiliser journalistes et associations culturelles qui réclament son démantèlement tandis que les «élus» gardent le silence et font le dos rond malgré la virulence des critiques.La fresque, en noir et blanc, a été annoncée par ses promoteurs comme un vibrant hommage de la ville et de ses habitants aux grands maîtres de la musique, dite constantinoise. La matière est noble (carrés de marbre), mais la main maladroite du tâcheron en a fait une horreur qui insulte la sensibilité et l’intelligence, et qui nous montre le souci de nos «élus» de ne pas dilapider les (deniers publics).A peine deux années après sa conception, la fresque commence à perdre un à un ses carrés de marbre à la manière d’un corps mangé par la lèpre. Pire, le mur qui la supporte se gondole dangereusement. Ce qui nous dit clairement avec quel «soin» le maître d’ouvrage et l’entrepreneur ont accompli leur travail. Certainement, ceux qui distribuent les marchés, en garantissant aux titulaires la réception sans contrôle de la qualité des travaux effectués, (voir les immeubles de Boumerdès et des cités dortoirs, dites nouvelles villes), n’ont pas raté ce petit chantier à gros budget.Finalement, les magistrats viennent de trancher. Le mur des lamentations sera démoli. Et surprise, les attendus du verdict nous dévoilent le drame d’un citoyen spolié dans ses droits. Un drame insoupçonnable. En effet, le mur de la honte cachait bien le secret : un terrible combat d’une famille dépossédée illégalement de sa propriété. Par qui ? Par un baron sans visage et sans nom, au service de qui travailleraient des «élus» et des fonctionnaires ,qu’une enquête sérieuse débusquera facilement. Le mur de la honte et des lamentations, comme l’ont qualifié des journalistes locaux, a été construit à la hâte pour épargner aux passants des accidents. Officiellement. En vérité, il protège une miniscule parcelle de terrain qui vaut son pesant d’or, selon les affairistes, car situé dans l’emplacement le plus convoité du centre-ville. La conception de la fresque sur ce mur masque astucieusement un projet de spoliation d’une propriété privée, comme à l’âge d’or du règne d’un certain «dey»… Un acte mafieux, pénalement condamnable, mais que des «élus» et des fonctionnaires ont sournoisement accompli avec les moyens de l’Etat, parce que se sentant au-dessus des lois.Désirez-vous des preuves qu’aucun esprit honnête n’osera imaginer ?En voici : quand le propriétaire du terrain, M. Khelassi Abdelouahab, dépose auprès de l’APC un dossier pour l’obtention d’un permis d’extension de son atelier de confection, il se heurte à tous les genres de tracasseries bureaucratiques. En plein chantier, il sera assigné à résidence pour avoir protesté contre la violation de sa propriété par les services de l’APC. Un «élu» aura l’incroyable audace de lui adresser une correspondance qui lui apprend que sa parcelle de terrain appartient au musée de Cirta. De son côté, le directeur (1) en personne, dont les prérogatives sont d’ordre purement technique, rejette le plan d’extension sous un prétexte sans fondement : le terrain serait une dépendance à l’usage des co-locataires de l’immeuble. Or, sur le registre de l’administration des domaines, l’identité du propriétaire est clairement mentionnée. Le musée Cirta ne possède aucun document concernant le terrain. Il faut être malhonnête et de mauvaise foi pour prétendre le contraire. Qu’est-ce qui incite des «élus» et des fonctionnaires d’inventer des propriétaires fictifs ?Muni d’un lourd cartable rempli de documents officiels qui attestent sa qualité de propriétaire, dont l’acte de propriété et des lettres signées par le wali et le directeur des domaines, Khelassi Abdelouhab passera seize longues années à courir les tribunaux, les administrations, les ministères, la Présidence. Il écrira à tous les présidents de la République, à tous les ministres de la Justice et de l’Intérieur, à tous les médiateurs et les procureurs qui se sont succédé à partir de 1990. Il contactera tous les journaux privés et publics. Mais il se heurtera à l’indifférence et à l’incompréhension. Habilement, les chantres de la bureaucratie feront traîner l’application de décision de justice.Du directeur de l’Urbanisme jusqu’à l’avocat, pourtant bien payé, ce dernier oubliera de conseiller à son client d’accomplir dans les délais requis des procédures indispensables… Il a fallu seize ans (1990-2006) pour que le cauchemar prenne fin.La chance de M. Khelassi vient de quelques journalistes qui ont été scandalisés par la laideur de la fresque, et qui ont lancé une dure campagne de presse contre les autorités locales. J’ose affirmer que sans l’action des journaux, le combat solitaire du citoyen contre la coalition mafieuse de fonctionnaires, «d’élus» et de barons, n’aurait peut-être jamais abouti. Ce qui est dramatique, car de nombreux cas semblables attendent depuis plus de trente ans une conclusion. Ceci, en raison de l’esprit routinier qui règne au sein des ministères qui sont inondés de «chicayates»de la part de «mahgourine» écrasés par les bureaucraties locales. Dans le meilleur des cas, les autorités centrales orientent le courrier vers le wali qui s’en décharge sur les services «concernés». Sans suivi. Le parcours du circuit peut durer des années, pour un courrier. Mais en général, les bureaucrates et les «élus» qui s’impliquent ouvertement dans les affaires douteuses bénéficient du laxisme de la hiérarchie ou de la protection d’une «haute autorité». La morale de ce drame, c’est qu’un homme honnête n’a jamais cessé de croire que viendra le jour où des magistrats sauront lire un acte de propriété et lui rendront justice. M. Khelassi s’est imposé une règle de ne pas violer la loi, et ne jamais se taire sur ses droits, le temps se chargera de faire éclater la vérité. Il a eu raison.En conclusion, reprenons une déclaration de M. Khelassi :- Il y a seize ans, mon projet était estimé à trois millions de dinars environ. Aujourd’hui, selon des experts, il reviendrait à quinze ou vingt fois plus. Mais au-delà de l’argent, j’ai perdu la santé, j’ai vieilli deux fois plus vite. L’avenir de mes enfants a été irrémédiablement gâché. Tout l’or du monde ne nous guérira pas des souffrances indescriptibles que mon épouse, mes enfants et moi-même avons endurées pendant seize ans. Pour l’instant, je savoure le triomphe de la justice sur l’abus de pouvoir et sur la mafia. Ils sont nombreux, les citoyens victimes d’abus. Je souhaite qu’ils ne baisseront pas les bras. Les élus et les juges passent mais la justice reste. Un jour, il y aura un magistrat de bonne famille et honnête qui fera triompher la vérité. L’important est de lutter, de ne pas se taire, de ne pas essayer de contourner la loi comme les mafieux, pour ne pas donner prise à des pressions et à des marchandages malsains.
MAHDI. HOCINE.
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(1) Le directeur de l’urbanisme
17/07/06

Saturday, July 22, 2006

Lettre à Mohamed Harbi

Lettre à Mohamed Harbi

Objet : Réponse A Votre Message Du 11 Juillet 2006.

Ayez un peu de dignité !
Votre message m'a vraiment scandalisé. Je vous dis d'emblée et sans détour que je rejette le moindre échange avec les hypocrites, les menteurs et les intellectuels rampants de votre espèce.
Ceux qui, comme vous, défèquent sur les nobles principes et les valeurs morales qu'ils déclarent à longueur d'année défendre ne méritent pas le respect.
Vous avez eu un comportement ignoble après votre départ de Constantine en 2005.
Si vous étiez un homme d'honneur vous n'auriez pas manipulé vos larbins Abdelmadjid Merdaci, Dahou Djerbal et Lemnouar Merrouche en vue de lancer une pétition qui couvre les mensonges contenus dans votre libre opinion parue sur le quotidien "le jeune indépendant " en Mai 2005.
Le 20 Mai 2005 vous nous avez accordé un rendez- vous (le journaliste d'Echourouk et moi) pour 14 heures.
Pourquoi avez – vous menti sur ce point précis?
En présence du directeur de l'Ecole nationale supérieure de Sidi Mabrouk, de son staff et de plusieurs professeurs, vous avez accordé un entretien au journaliste d'Echourouk, ensuite à une correspondante d'An'nasr. Nous étions cinq à la même table dans l'ordre suivant: Mr Merrouche, la jeune correspondante d'An'nasr, vous, le journaliste d'Echourouk et moi.
Comment avez- vous pu avoir l'idiotie de nier ce moment qui a été filmé et photographié par la direction de l'ENS, des professeurs et la correspondante d'An' nasr?
Pourtant la nature vous a doté d'une intelligence supérieure. Il y a des témoins… de nombreux témoins. Quelques uns d'entre eux ne seront pas disposés de vous lécher les bottes comme Abdelmadjid Merdaci, Dahou Djerbal et Lemnouar Merrouche .
Il y a des films et des photographies qui ne trichent pas comme les hommes qui sont capables de se rendre coupables de faux témoignages pour vous plaire.
Vous n'êtes pas idiot. Vous n'êtes pas fou .
Etiez – vous ivre au moment où vous aviez écrit la libre opinion ? .
A l'hôtel Panoramic j'étais accompagné d'un vieillard à cheveux blancs. C'était le cousin de l'historien KHALASSI .
La veille vous aviez eu une longue conversation cordiale avec lui. Mais vous avez écrit que l'homme qui m'accompagnait était le journaliste d'Echourouk qui est très jeune et a la tignasse noire, impossible à confondre avec celle d'un septuagénaire.
Pourquoi ?
Nous vous avons rencontré dans un petit salon de l'entresol de l'hôtel. Vous étiez avec Merrouche. Nous vous avions demandé la permission de nous asseoir et vous aviez consenti avec le sourire. Pourtant vous étiez libre de refuser poliment notre compagnie, nous n'aurions pas insisté.
Vous avez prétendu que nous avons forcé la porte de votre chambre.
Pourquoi?
En venant à l'hôtel nous n'avions ni appareil photographique ni camera, ni vidéo cam, ni dictaphone. J'avais seulement un porte document que j'avais ouvert sous vos yeux et ceux de MERROUCHE pour vous montrer mon manuscrit, mais vous avez prétendu le contraire.
Pourquoi ?
Vous m'avez accusé d'appartenir à une officine qui veut casser la démocratie et vous intimider parce que vous avez le courage de briser les tabous.
De quelle officine s'agit–il ? Je vous défie d'associer mon nom à un quelconque organisme officiel, politique, sécuritaire, culturel ou social qui a un lien avec le Pouvoir ou avec un parti d'opposition qui ramasse des miettes de la rente.
Vous n'êtes pas idiot, vous n'êtes pas fou. Dans un certain milieu on vous qualifie d'intellectuel intègre.
En quoi votre ignoble comportement ressemble t-il à celui d'un intellectuel intègre? A moins que vous ne jouissiez pas de toutes vos facultés mentales au moment où vous aviez rédigé la libre opinion.
Celle – ci contient des mensonges que le plus médiocre des journalistes mettra en évidence pour peu qu'il ait la volonté de chercher la vérité. Ce que Abdelmadjid Merdaci n'a pas eu l'honnêteté de faire, pour vous servir.
Je suis vraiment surpris de cette virginité artificielle qui illumine votre réputation actuelle.
Vous étiez un fervent partisan de la pensée unique, l'ennemi de la liberté d'expression et le complice silencieux de l'arbitraire. Vous vous taisiez sur les enlèvements politiques, la séquestration de vos pairs quand moi je dénonçais les pratiques criminelles du F.L.N dont vous étiez l'idéologue en titre.
A Rev Af , vous vous faisiez un devoir de ne publier que des lettres de lecteurs qui applaudissaient la mise hors d'état de nuire des patriotes qui étaient restés fidèles aux principes de Novembre mais que vous dénonciez en tant qu'ennemis de la révolution manipulés par des puissances étrangères et le sionisme. Or, ces patriotes étaient simplement plus lucides et plus honnêtes que vous. Ils combattaient la stratégie du Pouvoir de confiscation de la souverainté citoyenne et le système corrupteur naissant dont certains promoteurs se sont abaissés jusqu'à fermer les yeux sur le négoce de l'attestation communale: trois faux témoins lavant le passé d'un traître qui devient Moudjahid et les faux témoins sont des Moudjahidine.
Et vous êtes parmi les inventeurs de cette maudite attestation dont les titulaires ont désossé le pays au nom de la légitimité historique.
Avec le recul, tous les observateurs se rendent compte que ces patriotes se battaient pour l'avènement d'un Etat de droit.
Vous, ce combat, vous n'avez commencé à la mener qu'une fois chassé du Pouvoir.
En qualité de conseiller de BENBELLA, vous étiez au courant des enlèvements, des séquestrations, de la torture, des assassinats politiques mais vous ne vous sentiez pas le courage intellectuel de les dénoncer.
Normal!
Vous aviez une place de choix à la table du roi.
Je ne vous parle pas de vos compagnons comme Mouloud Lakerbi qui n'ont pas eu la lâcheté de fuir le pays parce qu'ils ont estimé que le combat contre la dictature doit se mener à l'intérieur de l'Algérie. Boumediene les a persécutés mais ils lui ont survécu et ils n'ont pas cessé de lutter. Je suis très fier d'avoir mené le même combat qu'eux avant de les connaître.
Ce n'est pas votre cas.
Sous Ben Bella vous m'avez censuré. REV. AF était la voix du parti inique et du Pouvoir personnel (une monarchie déguisée en république).
Boumediene m'a jeté en prison et a brisé ma carrière.
Sous Chadli la SM m'a persécuté. Après CHADLI le Pouvoir et le Fis m'ont fait voir de toutes les couleurs du malheur.
Et tout ça parce que j'ai écrit ce que m'a dicté ma conscience sans jamais prétendre appartenir à aucun club intellectuel, agissant en solitaire pour conserver mes libertés citoyennes que vous aviez violées quand vous étiez au Pouvoir.
Faut – il évoquer 1987, le procès Barbie, quand Jean Daniel vous jetait des fleurs tout en demandant au président de la république de punir Abdelkrim Djaad, Abderahmane Mahmoudi, Hocine Mahdi, Hanafi Taguemout, A.Ben Alam, Mohamed Balhi, Abdelaziz Sébaa, coauteurs du dossier " que veulent les juifs". Coupables à ses yeux d'antisémitisme alors qu'ils avaient seulement dénoncé la puissance malfaisante et destructrice du sionisme. Et on la voit aujourd'hui cette puissance à travers l'agression du Liban sans arme et de la Palestine exangùe. Une agression soutenue par le terroriste Bush et l'Occident
Faut – il parler de vos insultes à l'égard de Jacques Verges alors que vous connaissez parfaitement son objectif : se servir du procès Barbie pour dénoncer les crimes du sionisme au Moyen Orient et du colonialisme à travers le monde, se servir du procès Barbie pour dénoncer le système ségrégationniste des magistrats couchés du tribunal Pénal international qui ferment les yeux sur des milliers de Barbie américains, sionistes, français, anglais, italiens, espagnols, portugais, australiens, hollondais, qui ont fait pire que les nazis là où ont sévi et continuent de sévir le colonialisme et le néocolonialisme ? Qu'est ce qui vous distingue d'Elie Wiesel, de Bernard Henri Levy et Jean Daniel qui vous ont inculqué leurs distorsions langagières. Distorsions qui magnifient les crimes du colonialisme et légitiment les massacres commis par le sionisme
Et vous m'accusez d'être un obscure agent d'une mystérieuse officine qui chercherait à vous briser.
Certes mes questions sur le sionisme et sur la loi du 23 Février 2005 vous ont désorienté. Est-ce une raison pour m'accuser de n'importe quoi ?
Un homme d'honneur répondra sans complexe à mes questions.
Quant à vous, je doute fort que vous le feriez
Vous êtes un hypocrite et un menteur
Vous n'êtes pas idiot, vous n'êtes pas fou et vous êtes cultivé.
Donc, vous êtes un manipulateur
El Watan, le quotidien d'Oran, la Tribune , le jeune indépendant ont censuré mon droit de réponse . C'est pour cela que vous n'avez pas entendu parler de moi. Vos mensonges ont trompé Omar Belhouchat et des certaines de milliers de lecteurs en Algérie et en France.
Aujourd'hui mon seul souci est de briser cette censure et de montrer votre vrai visage de menteur et d'hypocrite qui manipule les journaux pour salir ceux qui lui posent des questions qu'il n'aime pas entendre.
Croyez en l'expression de mon total mépris.
Hocine Mahdi

Lettre à Mohamed Harbi

Lettre à Mohamed Harbi

Objet : Réponse A Votre Message Du 11 Juillet 2006.

Ayez un peu de dignité !
Votre message m'a vraiment scandalisé. Je vous dis d'emblée et sans détour que je rejette le moindre échange avec les hypocrites, les menteurs et les intellectuels rampants de votre espèce.
Ceux qui, comme vous, défèquent sur les nobles principes et les valeurs morales qu'ils déclarent à longueur d'année défendre ne méritent pas le respect.
Vous avez eu un comportement ignoble après votre départ de Constantine en 2005.
Si vous étiez un homme d'honneur vous n'auriez pas manipulé vos larbins Abdelmadjid Merdaci, Dahou Djerbal et Lemnouar Merrouche en vue de lancer une pétition qui couvre les mensonges contenus dans votre libre opinion parue sur le quotidien "le jeune indépendant " en Mai 2005.
Le 20 Mai 2005 vous nous avez accordé un rendez- vous (le journaliste d'Echourouk et moi) pour 14 heures.
Pourquoi avez – vous menti sur ce point précis?
En présence du directeur de l'Ecole nationale supérieure de Sidi Mabrouk, de son staff et de plusieurs professeurs, vous avez accordé un entretien au journaliste d'Echourouk, ensuite à une correspondante d'An'nasr. Nous étions cinq à la même table dans l'ordre suivant: Mr Merrouche, la jeune correspondante d'An'nasr, vous, le journaliste d'Echourouk et moi.
Comment avez- vous pu avoir l'idiotie de nier ce moment qui a été filmé et photographié par la direction de l'ENS, des professeurs et la correspondante d'An' nasr?
Pourtant la nature vous a doté d'une intelligence supérieure. Il y a des témoins… de nombreux témoins. Quelques uns d'entre eux ne seront pas disposés de vous lécher les bottes comme Abdelmadjid Merdaci, Dahou Djerbal et Lemnouar Merrouche .
Il y a des films et des photographies qui ne trichent pas comme les hommes qui sont capables de se rendre coupables de faux témoignages pour vous plaire.
Vous n'êtes pas idiot. Vous n'êtes pas fou .
Etiez – vous ivre au moment où vous aviez écrit la libre opinion ? .
A l'hôtel Panoramic j'étais accompagné d'un vieillard à cheveux blancs. C'était le cousin de l'historien KHALASSI .
La veille vous aviez eu une longue conversation cordiale avec lui. Mais vous avez écrit que l'homme qui m'accompagnait était le journaliste d'Echourouk qui est très jeune et a la tignasse noire, impossible à confondre avec celle d'un septuagénaire.
Pourquoi ?
Nous vous avons rencontré dans un petit salon de l'entresol de l'hôtel. Vous étiez avec Merrouche. Nous vous avions demandé la permission de nous asseoir et vous aviez consenti avec le sourire. Pourtant vous étiez libre de refuser poliment notre compagnie, nous n'aurions pas insisté.
Vous avez prétendu que nous avons forcé la porte de votre chambre.
Pourquoi?
En venant à l'hôtel nous n'avions ni appareil photographique ni camera, ni vidéo cam, ni dictaphone. J'avais seulement un porte document que j'avais ouvert sous vos yeux et ceux de MERROUCHE pour vous montrer mon manuscrit, mais vous avez prétendu le contraire.
Pourquoi ?
Vous m'avez accusé d'appartenir à une officine qui veut casser la démocratie et vous intimider parce que vous avez le courage de briser les tabous.
De quelle officine s'agit–il ? Je vous défie d'associer mon nom à un quelconque organisme officiel, politique, sécuritaire, culturel ou social qui a un lien avec le Pouvoir ou avec un parti d'opposition qui ramasse des miettes de la rente.
Vous n'êtes pas idiot, vous n'êtes pas fou. Dans un certain milieu on vous qualifie d'intellectuel intègre.
En quoi votre ignoble comportement ressemble t-il à celui d'un intellectuel intègre? A moins que vous ne jouissiez pas de toutes vos facultés mentales au moment où vous aviez rédigé la libre opinion.
Celle – ci contient des mensonges que le plus médiocre des journalistes mettra en évidence pour peu qu'il ait la volonté de chercher la vérité. Ce que Abdelmadjid Merdaci n'a pas eu l'honnêteté de faire, pour vous servir.
Je suis vraiment surpris de cette virginité artificielle qui illumine votre réputation actuelle.
Vous étiez un fervent partisan de la pensée unique, l'ennemi de la liberté d'expression et le complice silencieux de l'arbitraire. Vous vous taisiez sur les enlèvements politiques, la séquestration de vos pairs quand moi je dénonçais les pratiques criminelles du F.L.N dont vous étiez l'idéologue en titre.
A Rev Af , vous vous faisiez un devoir de ne publier que des lettres de lecteurs qui applaudissaient la mise hors d'état de nuire des patriotes qui étaient restés fidèles aux principes de Novembre mais que vous dénonciez en tant qu'ennemis de la révolution manipulés par des puissances étrangères et le sionisme. Or, ces patriotes étaient simplement plus lucides et plus honnêtes que vous. Ils combattaient la stratégie du Pouvoir de confiscation de la souverainté citoyenne et le système corrupteur naissant dont certains promoteurs se sont abaissés jusqu'à fermer les yeux sur le négoce de l'attestation communale: trois faux témoins lavant le passé d'un traître qui devient Moudjahid et les faux témoins sont des Moudjahidine.
Et vous êtes parmi les inventeurs de cette maudite attestation dont les titulaires ont désossé le pays au nom de la légitimité historique.
Avec le recul, tous les observateurs se rendent compte que ces patriotes se battaient pour l'avènement d'un Etat de droit.
Vous, ce combat, vous n'avez commencé à la mener qu'une fois chassé du Pouvoir.
En qualité de conseiller de BENBELLA, vous étiez au courant des enlèvements, des séquestrations, de la torture, des assassinats politiques mais vous ne vous sentiez pas le courage intellectuel de les dénoncer.
Normal!
Vous aviez une place de choix à la table du roi.
Je ne vous parle pas de vos compagnons comme Mouloud Lakerbi qui n'ont pas eu la lâcheté de fuir le pays parce qu'ils ont estimé que le combat contre la dictature doit se mener à l'intérieur de l'Algérie. Boumediene les a persécutés mais ils lui ont survécu et ils n'ont pas cessé de lutter. Je suis très fier d'avoir mené le même combat qu'eux avant de les connaître.
Ce n'est pas votre cas.
Sous Ben Bella vous m'avez censuré. REV. AF était la voix du parti inique et du Pouvoir personnel (une monarchie déguisée en république).
Boumediene m'a jeté en prison et a brisé ma carrière.
Sous Chadli la SM m'a persécuté. Après CHADLI le Pouvoir et le Fis m'ont fait voir de toutes les couleurs du malheur.
Et tout ça parce que j'ai écrit ce que m'a dicté ma conscience sans jamais prétendre appartenir à aucun club intellectuel, agissant en solitaire pour conserver mes libertés citoyennes que vous aviez violées quand vous étiez au Pouvoir.
Faut – il évoquer 1987, le procès Barbie, quand Jean Daniel vous jetait des fleurs tout en demandant au président de la république de punir Abdelkrim Djaad, Abderahmane Mahmoudi, Hocine Mahdi, Hanafi Taguemout, A.Ben Alam, Mohamed Balhi, Abdelaziz Sébaa, coauteurs du dossier " que veulent les juifs". Coupables à ses yeux d'antisémitisme alors qu'ils avaient seulement dénoncé la puissance malfaisante et destructrice du sionisme. Et on la voit aujourd'hui cette puissance à travers l'agression du Liban sans arme et de la Palestine exangùe. Une agression soutenue par le terroriste Bush et l'Occident
Faut – il parler de vos insultes à l'égard de Jacques Verges alors que vous connaissez parfaitement son objectif : se servir du procès Barbie pour dénoncer les crimes du sionisme au Moyen Orient et du colonialisme à travers le monde, se servir du procès Barbie pour dénoncer le système ségrégationniste des magistrats couchés du tribunal Pénal international qui ferment les yeux sur des milliers de Barbie américains, sionistes, français, anglais, italiens, espagnols, portugais, australiens, hollondais, qui ont fait pire que les nazis là où ont sévi et continuent de sévir le colonialisme et le néocolonialisme ? Qu'est ce qui vous distingue d'Elie Wiesel, de Bernard Henri Levy et Jean Daniel qui vous ont inculqué leurs distorsions langagières. Distorsions qui magnifient les crimes du colonialisme et légitiment les massacres commis par le sionisme
Et vous m'accusez d'être un obscure agent d'une mystérieuse officine qui chercherait à vous briser.
Certes mes questions sur le sionisme et sur la loi du 23 Février 2005 vous ont désorienté. Est-ce une raison pour m'accuser de n'importe quoi ?
Un homme d'honneur répondra sans complexe à mes questions.
Quant à vous, je doute fort que vous le feriez
Vous êtes un hypocrite et un menteur
Vous n'êtes pas idiot, vous n'êtes pas fou et vous êtes cultivé.
Donc, vous êtes un manipulateur
El Watan, le quotidien d'Oran, la Tribune , le jeune indépendant ont censuré mon droit de réponse . C'est pour cela que vous n'avez pas entendu parler de moi. Vos mensonges ont trompé Omar Belhouchat et des certaines de milliers de lecteurs en Algérie et en France.
Aujourd'hui mon seul souci est de briser cette censure et de montrer votre vrai visage de menteur et d'hypocrite qui manipule les journaux pour salir ceux qui lui posent des questions qu'il n'aime pas entendre.
Croyez en l'expression de mon total mépris.
Hocine Mahdi

Saturday, July 01, 2006

الهوان العربي بقلم حسين مهدي كاتب جزائر ي باللغة الفرنسية


لم أتوقع أن يصل الإستسلام والهوان العربي إلى هدا الدرك أيلي ويزل الصهيوني المتطرف يترأس إجتماعا للحائزين على جائزة نوبل وهدا في بلد عربي مسلم وتحت رعاية ملكينتسب إلى الرسول -ص-رغم تاريخه الاسودفي الدعاية الصهيونية وتبريرجر ائمها كمجزرة صبرا وشتيلاوأخر تصريحاته كانت التأسف علىأطفال اليهودالمقتولين في العمليات الاستشهاديةمتناسيا الاطفال الفلسطينيين الدين يموتون يوميا على يد الاجرام الصهيوني إد أن غرض الاجتماع التفكير في مشاكل العالم وأزماته فإننا لانتوقع شيئاإيجابيا مادام يراسه شخص لا يري سوى بمنظار العنصرية العمياءوالولاء للفكر الا رهابي الصهيوني و لايهم أبدا ان كان حائزا على جائزة نوبل لان العالم كله يعلم أن هده الجوائزتوزع في ميدان الاداب على من يرضي عنهم أبناء صهيون والغرب فهل وصل العرب إلى نقطة الللارجوع في الاستسلام والخضوع بقلم حسين مهدي قسنطينة في 24جوان2006