Il ne fait plus de doute que Netanyahu, comme l’avait fait Botha en Afrique du Sud, ne cédera aucune concession à Mahmoud Abbas si l’ONU n’engagera pas une épreuve de force contre lui.
Le seul problème que craint tout le monde ce sera le veto de Barack Obama annulant des sanctions tardives et bien méritées. Comme toujours dès qu’il s’agit de la question palestinienne Washington piétine tout le monde et toutes les lois. A notre humble avis le veto américain est facilement contournable pour peu que la Ligue arabe prenne le relais de l’ONU et décide à son niveau des actions énergiques.
On le sait bien, parmi les dirigeants arabes serviles, selon nous, mais qualifiés pompeusement de «modérés» par l’Occident flatteur l’idée du boycott butera sur des réticences inflexibles. Elle a une chance sur trois de franchir le rubicon.
Motif : la peur panique de contribuer à la naissance d’une réelle démocratie à leurs frontières. Ce que ni les dirigeants arabes ni les dirigeants de l’Occident civilisateur ne veulent au Moyen Orient et en Afrique.
A moins que la locomotive turque prenne sur elle de tracter les waggons poussifs de la Ligue arabe pour contribuer à l’instauration d’une paix juste et durable au Moyen Orient malgré les vils calculs des Américains.
Barack Obama étant ligoté par ses compromissions avec l’AIPAC et les conservateurs du Congrès, les Palestiniens n’ont plus que le premier ministre turque Tayeb Rajeb Erdogan qui ait assez de courage politique et de crédibilité internationale pour engager l’épreuve de force contre Netanyahu :
Un boycott général et la rupture des relations diplomatiques, commerciales et militaires de tous les pays arabes.
Les réticences de Barack Obama à exercer des pressions efficaces sur les hordes sionistes sont les résultats des désaccords des dirigeants arabes sur des actions pertinentes qui ont prouvé leur efficacité en diverses occasions.
L’Afrique du Sud, qui est autrement plus puissante que le mini Etat fantoche sioniste, en est un bel exemple. Le boycott, pourtant peu respecté par les Européens et des multinationales occidentales, avait mis fin à l’apartheid plus rapidement que ne l’espéraient ses inspirateurs.
Au moment où la propagande sioniste prête à Tayeb Rajeb Erdogan (Tayepp Racepp Erdogan pour les Occidentaux) l’intention de rétablir les relations avec Netanyahu sans exiger le déblocage de Gaza, nous avons entendu le premier ministre turque dire le contraire. Celui-ci n’acceptera l’indemnisation de ses compatriotes qui furent assassinés que si les hordes sionistes demanderont pardon et lèveront le blocus de Gaza. Nous pensons qu’il est sincère et plus déterminé que jamais d’œuvrer pour la libération de la Palestine, quitte à bousculer les monarques made in British et malgré Hosni Moubarak qui lui met les bâtons dans les roues pour une ridicule question de leadership. Nous pensons également que ses exigences sont nettement insuffisantes s’il espère briser l’arrogance de Netanyahu et inciter Obama à mesurer ce que l’Amérique perdra au Moyen Orient si elle continuera de protéger le colonialisme en Palestine.
Erdogan nous a plus d’une fois prouvés qu’il est mû par des principes louables à l’égard d’un peuple abandonné par l’ONU aux ogres américains et sionistes.
Qui oubliera la scène où, les yeux dans les yeux, il avait accusé Pères d’auteur de crimes contre l’humanité ?
Scène filmée et diffusée en direct et en mondovision qui a scandalisé Washington, Londres, Berlin, Paris, Ryad, le Caire, Rabat mais qui a agréablement surpris les citoyens Arabes ainsi que les humanistes de tous les continents.
Du jamais vu entre deux Etats qui entretiennent de très bonnes relations dans les domaines les plus sensibles : militaires, sécurité, recherches scientifiques de très haut niveau.
Après un bras de fer aussi risqué pour sa carrière politique et sa vie Erdogan ne va pas se contenter seulement d’excuses hypocrites et d’une levée partielle du blocus de Gaza. Nous souhaitons qu’il s’engagera un peu plus même si les dictateurs arabes ne l’aiment pas plus qu’ils n’aiment le peuple palestinien et leurs propres peuples, même si Netanyahu le déteste et attend avec impatience l’élection d’un autre premier ministre turque moins indépendant de Washington, moins lucide et moins courageux que lui.
Dans la région il est, présentement, le seul à pouvoir initier une action de contournement du veto US au Conseil de sécurité pour garantir aux Palestiniens un Etat viable dans les frontières qui furent décidées par l’ONU en I948. Ce que nous considérons comme la plus grosse arnaque du colonialisme anglais commise contre une nation au nom de la légalité internationale . C’était aussi criminel que l’invasion et la destruction de la nation irakienne décidées par l’Etat voyou US et soutenu par l’Angleterre au nom de l’ONU. Sur un simple mensonge.
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Le 16 décembre 2010
MAHDI HOCINE
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S. O. S. Peuple en danger d’extinction !
Nos craintes sont confirmées. La décision de la ligue arabe de s’adresser au Conseil de sécurité de l’ONU pour dénoncer la colonisation de la Palestine n’a pas une chance sur cent millions d’aboutir. Barack Obama et sa clique d’exterminateurs ont informé hier Amr’ Moussa et Mahmoud Abbas que le veto US étouffera toute tentative de recours à la légalité internationale sur tout ce qui concerne le devenir du peuple Palestinien pour lequel ce premier jour de l’année 2011 annonce une autre nekba.
Ne cherchons pas les raisons qui poussent l’Etat voyou US de piétiner la légalité internationale dès qu’il s’agit du Moyen Orient et du colonialisme en Palestine, dont Il en a fait illégalement sa propriété privée.
Comme il a fait de l’ONU une annexe de son administration grâce au droit de veto que lui a consenti la légalité internationale.
C’est là tout le paradoxe.
Logiquement un Etat immature et terroriste comme les USA ne doit pas disposer d’une arme aussi redoutable que le droit de veto qui l’autorise d’écraser des peuples sans leur faire directement la guerre.
Que va faire l’Europe qui condamne la colonisation en Palestine mais n’ose pas aller au delà des déclarations de principe pour ne pas contrarier son puissant allié envers lequel elle a de grosses dettes ?
Que vont faire les dirigeants arabes de service, dits modérés et les autres, qui ne savent que broder des discours de circonstance mais qui, d’une manière ou d’une autre, ont toujours été sous la coupe de l’administration américaine ?
Ah, si l’Union Européenne avait une réelle volonté d’assumer ses responsabilités au sein du quartette ! Mais elle est coincée par son lugubre passé de collaboratrice avec Hitler dans l’extermination, des handicapés, des juifs, des communistes, des tziganes etc. Elle n’osera même pas menacer les hordes sionistes d’un boycott comme elle l’avait fait contre l’apartheid en Afrique du Sud. Pourtant ne reste vraiment que cette mesure pour que renaisse l’Etat Palestinien et revienne la Paix très rapidement au Moyen Orient.
Les humanistes du monde entier tout comme les politiciens ont bien conscience que le peuple palestinien restera en danger tant que l’Etat voyou US l’isolera de l’ONU en abusant de son droit de veto et en couvrant diplomatiquement l’extension criminelle des colonies sionistes. Il leur appartient de relayer l’appel au boycott en usant de tous les supports possibles (presse, médias lourds, Internet). Après plus de trente ans de négociations stériles le boycott s’impose pour aboutir à une solution équitable. Pour éviter une explosion. Les génocides genre Gaza, ça suffit ! Ne poussons pas les Palestiniens au désespoir qui les conduira fatalement aux attentats suicides que désire provoquer Netanyahu en vue de desserrer la pression internationale qui s’exerce depuis le génocide de Gaza sur son gouvernement raciste
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Le 2 janvier 2011
Mahdi Hocine
-----------------------------------------------------------------Le clan Gbagbo, une cible plus facile que le clan Pères ?
Avez-vous remarqué avec quelle célérité et avec quelle belle unanimité Obama, Hillary, Sarkozy, Ocompo, Ashton au nom de l’UE, l’ONU, ont lancé leur ultimatum au fraudeur Gbagbo qui n’a fait ni mieux ni pire que ses pairs d’Afrique, du Maghreb et du Moyen Orient pour s’accrocher au pouvoir. En décembre 2010 Moubarek avait emprisonné tous ses rivaux qui pouvaient balayer son parti du parlement, le mettre en minorité et le contraindre à une cohabitation avec des démocrates, des légalistes ou autres. Ses sbires avaient même menacé El Baradaï de mort pour lui barrer la route de la présidentielle.
Fraude massive, agression contre les candidats de l’opposition ‘’légale’’ et les électeurs, amendement de la constitution, manipulation des listes électorales, état d’urgence pour tétaniser le pluralisme politique…Quel est le président candidat à sa propre succession après la fin du premier mandat en Afrique et au Moyen Orient qui n’a pas fait et refait cela à chaque nouvelle échéance électorale ? Combien de dictateurs ont été réelus de la même manière que l’Ivoirien sans s’attirer les foudres de l’Occident civilisé et « démocrate », lequel Occident continue d’entretenir des relations d’affaires malodorantes avec eux sans la moindre gène ?
Pour Gbagbo, que protégeait Sarkozy, c’est la routine. Mais dans cette affaire qui est un grand drame pour le peuple ivoirien qui végète toujours sous le régime néocolonial français, ce qui nous met en colère c’est que, subitement, le procureur du Tribunal Pénal International ait agi comme s’il était indépendant du Conseil de sécurité onusien.
Ocompo nous avait toujours expliqué sans jamais nous convaincre que ses prérogatives sont tributaires d’une saisine du Conseil de sécurité, qu’il ne pouvait engager une procédure de son propre chef. Mais voici que son masque est tombé ! Il est libre de menacer, de surveiller, de ficeler un dossier contre Gbagbo mais pas pour enquêter sur les génocides de Sabra, Chatila, Canaa, Gaza.
Le clan Gbagbo étant composé de lièvres plus facile à chasser que la meute de « sharognards » pistonnée par l’AIPAC et couvée par Washington.
A partir d’aujourd’hui les peuples anciennement et actuellement colonisés savent que les magistrats du Tribunal pénal international sont indépendants s’ils désirent l’être. Le collectif des avocats de Sabra, Chatila, Gaza ont là l’opportunité de bouger pour que le procureur Ocompo cesse de pratiquer le système des « deux poids deux mesures ».
Les institutions de l’ONU étant au service de l’humanité pas de Washington.
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Le 16 décembre 2010
Mahdi Hocine
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Que veut encore George Mitchell ?
L’envoyé spécial de Barack Obama a repris ses navettes en Palestine occupée, mais cette fois sans l’illusion de convaincre l’autorité palestinienne de s’enfoncer un peu plus dans les marécages des concessions unilatérales. Mahmoud Abbas ayant tout donné aux sionistes sans rien recevoir en contrepartie sinon des paquets de dollars qui n’empêchent pas la misère morale et matérielle d’empoisonner la vie des citoyens et de les inciter à soutenir la révolution armée sinon de s’y engager.
–‘’ Gardez vos dollars mais rendez-nous nos terres, nous ne demandons rien de plus que nos terres et la paix’’-.
C’est ce que les Palestiniens n’arrêtent de répéter à tous les George Mitchell qui se succèdent, leurs valises remplies de promesses vaseuses et de mensonges.
Bush leur avait promis l’indépendance pour 2005. Pendant son règne ils ont subi une accélération démentielle de la colonisation financée par l’argent des Américains et, pour achever son second mandat en beauté, il leur avait offert le génocide de Gaza qu’il a lui-même avalisé en s’appuyant sur la complicité de Hosni Moubarek, de Abdallah le Saoudien, de Mahmoud Abbas et autres monarques empaillés du Moyen Orient qui croyaient l’armée sioniste désireuse de liquider le gouvernement du Hamas qui est involontairement ou non son meilleur allié sur le plan de l’efficacité de sa stratégie diplomatique et de propagande de victimisation en Europe et aux Etats-Unis où elle dispose de très influents relais intellectuels et médiatiques qui sont capables de transformer un crime crapuleux en un acte de légitime défense.
Contrairement à son habitude l’envoyé spécial de Barack Obama n’est pas retourné directement au bercail. Il a fait une halte remarquée auprès de Catherine Ashton de l’Union Européenne ensuite il s’est rendu chez le plus pro américain des présidents qu’a eu à supporter la république française, le sautillant Nicolas Sarkozy.
La veille nous avions eu une belle surprise : la commission des affaires étrangères de l’Union Européenne réunie à Bruxelles avait annoncé son intention de reconnaître le moment venu (quand ?) l’Etat palestinien tout en appelant les hordes sionistes de stopper la colonisation qui est illégale et freine les négociations de paix. Ce qui ne peut ressembler qu’à une condamnation sans équivoque des pratiques sionistes en Cisjordanie et à El Qods. Pratiques criminelles couvertes par l’Etat US mais aussi encouragées par le laxisme presque maternel des autres membres du quartette qui s’est chargé de l’impossible mission de créer un Etat palestinien « viable » en s’interdisant d’appliquer des sanctions contre les forces sionistes d’occupation. Gros problème d’éthique : Les Européens sont plombés par un lourd complexe de culpabilité, qui remonte à la période nazie, à l’égard des hordes sionistes. Mais ce sont les Palestiniens en particulier et les Arabes en général qui paient les pots cassés.
Mitchell n’a-t-il pas reçu de son empereur Obama l’ordre d’aller en vitesse suggérer ou ordonner à Ashton et à Sarkozy de ne pas se mêler de ce qui ne les regarde pas. Washington considérant que le COLONIALISME en Palestine est une affaire entre elle et ses arabes de service?
D’ailleurs, une phrase de Mitchell (plagiée sur Netanyahu) confirme nos pensées :
Les Palestiniens ne doivent pas prendre des décisions unilatérales s’ils désirent s’épargner l’usage du droit de veto par les USA au Conseil de Sécurité.
Ils ne doivent pas s’adresser à l’ONU qui, de toute façon, ne peut rien décider sans l’aval de Hussein Barack Obama ou de ses successeurs.
Ils ne doivent pas lancer des appels aux autres nations pour reconnaître un Etat palestinien qui n’a pas une chance d’exister dans vingt ans ou qui n’existera que dans la forme embryonnaire que voudront lui donner Washington et les hordes sionistes en attendant la mort et l’exil programmés de tous les Palestiniens.
Nous avons déjà une piste très sérieuse.
Obama n’a-t-il pas sévèrement critiqué le chef d’Etat du Brésil souverain pour avoir reconnu l’existence d’un Etat Palestinien dans ses frontières de 1967 ?
Hillary Clinton (comme l’a fait Netanyahu il y a une semaine) n’a-t-elle pas lancé une mise en garde déguisée à tous les chefs d’Etat qui seraient tentés de suivre le mauvais exemple brésilien sur un dossier dont l’ONU a été dessaisie par les USA au profit des hordes sionistes ?
A cause de la partialité de Hussein Barack Obama et de Hillary Clinton tout a changé en pire : le Moyen Orient est redevenu un volcan au bord de l’explosion.
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Le 18 décembre 2010
MAHDI HOCINE
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Qui ment ?
Dans son premier discours de l’an de grâce 2011 le tristement célèbre premier ministre des hordes sionistes Netanyahu a dressé un bilan d’activité assez surprenant. Même pour ceux qui connaissent ses dribles verbaux à fin de se donner bonne conscience ou se disculper face à ses détracteurs de la Knesset. Ceux-ci étant mécontents de sa politique dont le résultat le plus visible est la gène qu’éprouvent les amis inconditionnels de l’Etat fantoche sioniste à s’aligner sur ses positions. Notamment sur la poursuite de la colonisation des territoires palestiniens qui a réduit à néant les efforts du quartette tendant à instaurer la paix durablement au Moyen Orient.
-‘’j’ai proposé aux Américains un gel de la colonisation pendant trois mois. Mais ils avaient ignoré mon offre jugeant que la colonisation n’était qu’une question secondaire dans le processus global des négociations’’.
En somme il accuse Obama et Hillary Clinton de lui avoir laissé la liberté de décider.
Obama affirme le contraire.
Netanyahu accuse Mahmoud Abbas d’avoir sabordé les négociations malgré toutes les concessions qui lui ont été faites.
Or le pauvre Abbas n’avait posé qu’une condition : le gel de la colonisation pendant les négociations. Mais Netanyahu, en provocateur professionnel, n’en avait pas tenu compte forçant son interlocuteur de se retirer.
Nous aimerions bien être informés sur la nature des concessions dont parle le sinistre Netanyahu.
La colonisation d’El Qods Est est-elle une concession ?
La création de nouvelles colonies sur les territoires occupés est-elle une concession ?
L’expropriation des familles palestiniennes chrétiennes et musulmanes est-elle une concession ?
L’expulsion, l’emprisonnement et l’assassinat des citoyens d’El Qods Est sont-ils des concessions ?
La répression barbare contre les manifestants chrétiens, juifs, musulmans et athées qui revendiquent le démantèlement du mur de la honte et des colonies pour assurer la viabilité du futur Etat palestinien est-elle une concession ?
Nous n’avons pas vu autre chose que cela en 2010 avant, pendant et après les négociations.
Netanyahu a accusé sans le nommer Erdogan d’entraver la reprise des relations entre les deux pays. Mais il ne dit pas pourquoi. Or le premier ministre turque avait formulé une demande raisonnable que Netanyahu n’a pas honorée par orgueil. Les hordes sionistes ont été, sont et resteront toujours des assassins qui crient au meurtre contre leurs victimes et tous les Occidentaux tombent dans le piège, volontairement. Pourquoi ???
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Le 3 janvier 2011
Mahdi Hocine
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La Montagne Qui Accouche D’un Cafard
L’Afrique du Sud, l’Allemagne et l’inde ont enfin accédé au Conseil de l’ONU. Il parait que c’est une réforme attendue depuis très longtemps.
Que peuvent apporter ces pays de nouveau, d’utile à une institution malade du droit de veto qui la paralyse ? Nous osons affirmer que rien ne changera tant que les décisions qui sont adoptées à l’unanimité moins une ou deux voix sont annulées par l’usage immodéré, injustifié, souvent crapuleux du veto.
Dans des situations gravissimes nous avons eu à observer des marchan- dages inhumains, des comportements de voyous, des chantages odieux pour l’amendement des résolutions qui déplaisent aux Américains, aux Anglais, aux Français et aux sionistes. On ne dirait pas que ce sont des hommes d’Etat responsables qui débattent en vu de régler un grave problème qui se pose à une nation. C’est à coups de menaces et de corruption que les voix sont orientées vers la solution voulue par les grandes puissances, l’Etat voyou US en tête.
Dans ses conditions à quoi sert l’ONU ?
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Le 3 Janvier 2011
Mahdi Hocine
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