Le premier Mai 2013, au Bangladesh, les sauveteurs n'arrêtaient pas de retirer les cadavres des esclaves de sous les décombres de leurs ateliers pulverisés par une grosse explosion.
Le nombre de morts se chiffre par dizaines, voire par centaines*.
Mais qui pourra compter justement dans les véritables fourmillières asiatiques où s'entassent, par milliers, des esclaves de tous les âges non déclarés, par conséquent non identifiables...
Pour le grand bonheur des actionnaires de Bennetton, Cartiers, Addidas, Prima et autres marques du super luxe mais aussi celles de l'article de bataille bon marché.
Une main d'oeuvre qui coûte cent fois moins cher**, travaille dans d'horribles conditions plus de douze heures par jour, végéte dans la précarité et meurt dans l'indifférence totale des patrons et des actionnaires.
Jusqu'à présent l'apport de la mondialisation à l'humanité, vérifiable et vérifié, se signale à notre attention par :
Un chômage massif dans la riche Europe de l'ouest.
L'esclavage industriel en Afrique, en Amérique Latine et en Asie.
Le glissement sur la pente de la pauvreté de l'Europe occidentale dont les usines ont été délocalisées en Afrique et en Asie en vue de diviser par dix à cent le coût de la production sans amenuiser la qualité ni en réduire le prix de vente.
Les dividendes des actionnaires atteignent des sommets qui dépassent l'imagination.
Les salaires des directeurs ne peuvent être assimilés qu'aux actes de grand banditisme dans la mesure où les augmentations inimaginables des salaires directoriaux interviennent quand l'entreprise met en chômage des centaines d'ouvriers en Europe et en recrute des milliers en Afrique et en Asie.
Le premier jour du mois de mai 2013 s'est déroulé sur fond de crise.
Une crise qui s'aggrave et annonce de sombres lendemains pour l'humanité :
Plus de chômage, plus de pauvreté, plus de précarité, plus d'inflation pour les travailleurs et plus de richesses pour les fonds spéculatifs, les financiers, les boursicoteurs, les politiciens.
La mondialisation à la sauce US. a un prix exorbitant pour le cadre moyen, l'ouvrier, le citoyen lambda.
La révolte est générale contre cette mondialisation de la misère, du chômage qui s'étend à l'Europe de l'Ouest habituée à un minimum de confort.
Nous le souhaitions tellement. Car la fulgurante extension de la précarité en Espagne, en Italie et en France provoquera certainement une explosion à l'échelle planétaire contre la pauvreté.
Le banditisme de la finance internationale étant source de désordre social dans de nombreux pays où.les citoyens revendique une autre mondialisation :
Celle de la justice sociale, de la prospérité et de la paix pour tous.
-----------------
Hocine Mahdi
------Le 4 mai 2013
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*) Déjà six cents cadavres récupérés des décombres (600) et les recherches se pousuivent.
**) Moins de 30 euros par mois quand le salaire minimum garanti en France est de 1500 euros. 12 heures par jours. Le rendement par ouvrier au Bangladesh est quantativement le double en comparaison du rendement en Europe où les conditions de travail sont strictement réglementées. Calculez les bénéfices des patrons qui délocalisent en Afrique et en Asie.
Le nombre de morts se chiffre par dizaines, voire par centaines*.
Mais qui pourra compter justement dans les véritables fourmillières asiatiques où s'entassent, par milliers, des esclaves de tous les âges non déclarés, par conséquent non identifiables...
Pour le grand bonheur des actionnaires de Bennetton, Cartiers, Addidas, Prima et autres marques du super luxe mais aussi celles de l'article de bataille bon marché.
Une main d'oeuvre qui coûte cent fois moins cher**, travaille dans d'horribles conditions plus de douze heures par jour, végéte dans la précarité et meurt dans l'indifférence totale des patrons et des actionnaires.
Jusqu'à présent l'apport de la mondialisation à l'humanité, vérifiable et vérifié, se signale à notre attention par :
Un chômage massif dans la riche Europe de l'ouest.
L'esclavage industriel en Afrique, en Amérique Latine et en Asie.
Le glissement sur la pente de la pauvreté de l'Europe occidentale dont les usines ont été délocalisées en Afrique et en Asie en vue de diviser par dix à cent le coût de la production sans amenuiser la qualité ni en réduire le prix de vente.
Les dividendes des actionnaires atteignent des sommets qui dépassent l'imagination.
Les salaires des directeurs ne peuvent être assimilés qu'aux actes de grand banditisme dans la mesure où les augmentations inimaginables des salaires directoriaux interviennent quand l'entreprise met en chômage des centaines d'ouvriers en Europe et en recrute des milliers en Afrique et en Asie.
Le premier jour du mois de mai 2013 s'est déroulé sur fond de crise.
Une crise qui s'aggrave et annonce de sombres lendemains pour l'humanité :
Plus de chômage, plus de pauvreté, plus de précarité, plus d'inflation pour les travailleurs et plus de richesses pour les fonds spéculatifs, les financiers, les boursicoteurs, les politiciens.
La mondialisation à la sauce US. a un prix exorbitant pour le cadre moyen, l'ouvrier, le citoyen lambda.
La révolte est générale contre cette mondialisation de la misère, du chômage qui s'étend à l'Europe de l'Ouest habituée à un minimum de confort.
Nous le souhaitions tellement. Car la fulgurante extension de la précarité en Espagne, en Italie et en France provoquera certainement une explosion à l'échelle planétaire contre la pauvreté.
Le banditisme de la finance internationale étant source de désordre social dans de nombreux pays où.les citoyens revendique une autre mondialisation :
Celle de la justice sociale, de la prospérité et de la paix pour tous.
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Hocine Mahdi
------Le 4 mai 2013
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*) Déjà six cents cadavres récupérés des décombres (600) et les recherches se pousuivent.
**) Moins de 30 euros par mois quand le salaire minimum garanti en France est de 1500 euros. 12 heures par jours. Le rendement par ouvrier au Bangladesh est quantativement le double en comparaison du rendement en Europe où les conditions de travail sont strictement réglementées. Calculez les bénéfices des patrons qui délocalisent en Afrique et en Asie.
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