Sous le pont de Sidi Raached
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Pas de concours pour des infrastructures culturelles qui demandent des études sérieuses et d'être intégrées dans le tissu urbain.
Les marchés ont été passés de gré à gré. Khalida Toumi aurait engagé des entrepreneurs en sourdine.
Tout faire en moins de neuf mois. C'était une grosse ânerie.
Nous voyons les résultats à une semaine du 16 avril.
Les chantiers les plus importants n'ont pas encore démarrer comme celui de la bibliothèque.
De Bab el Kantara au centre-ville, Constantine et éventrée.
Ci-dessous des photos prises le 4 avril 2015 et le 8 avril 2015.
Elles se passent de commentaire !
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Le centre-ville, dounia taraef
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Le centre culturel El Khelifa, l'esthétique des prédateurs.
Tout ce qui brille n'est pas de l'or.
Des incultes et des opportunistes gouvernent la culture.
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Ce sera un bassin sec
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Le passage du souterrain, juste devant la porte du centre culturel El Khalifa
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Le trottoir de Bab-el-Oued
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Une rangée de bacs en pierre divise la chaussée en deux.
Les citoyens les assimilent à des tombeaux.
(photo prise le 4 avril 2015)
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Cette photo prise le 8 avril 2015. Des arbustes et des fleurs ont poussé en 4 jours dans les bacs. La route est encore défoncée.
Faire vite et n'importe comment.
L'essentiel est de finir avant l'arrivée des participants de l'Année de l'Inculture Arabe qui a réduit les citoyens arabes à ne penser qu'aux choses du ventre et du bas-ventre.
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Même un immeuble dont la construction est à l'arrêt depuis de nombreuses années est badigeonné en blanc après le 2 avril 2015.