J'ai rencontré le journaliste d'El Watan chez Necib Saïd, l'un des poètes les plus remarquable de la génération Amrani, Malek Haddad mais qui a vieilli en Algérie dans l'anoymat.
C'est le sort des artistes qui n'ont pas vendu leurs talents et leurs noms aux politicards du régime de la rente et que l'Algérie officielle ne reconnaitra et n'honorera qu'après leur mort.
La poésie de Nécib Saïd retrace l'histoire de l'Algérie profonde et fière.
Extrait de l'entretien que j'ai eu avec le journaliste.
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